PÉTITION : STOP AU VANDALISME DE L’ART CONTEMPORAIN SUR NOTRE PATRIMOINE ! Par Nicole Esterolle (Billet d’humeur)

L’Etat  n’ a pas d’argent pour préserver et restaurer le patrimoine, mais il en a pour le saloper avec de l’art « contemporain ».

Et c’est ainsi que le plasticien contemporain  anamorphosiste Fabrice Varini a renouvelé son gros canular optique sur les ruines de l’abbaye cistercienne de Mazan en Ardèche. (Après la Cité de Carcassonne, il y a trois ans)

1 / Varini abbaye de Mazan

2/ Varini chapelle

Plus de 6000 signatures déjà pour la pétition protestant contre cette spectaculaire, démagogique  et odieuse vulgarité visuelle… Une pétition que vous pouvez signer  ici :

https://www.mesopinions.com/petition/art-culture/stop-vandalisme-art-contemporain-nos-monuments/183582?fbclid=IwAR1JkCqPiIdrVobqXxOa9QTEBQCwF31OhOZbZgK7F5qtmw9Q-zBdohF9qRY

L’art « contemporain », génétiquement  fait  de pure conceptualité vide de sens et de contenu, a en effet besoin de parasiter le patrimoine pour se donner quelque épaisseur historique, substance vivante et légitimité…et s’attribuer un public admirateur du patrimoine pris en otage lui aussi  : la manœuvre est bien connue…et celle-ci d’autant plus facile et coutumière que la DRAC locale , responsable du patrimoine possède, de ce fait, tout pouvoir pour y coller de l’art « contemporain »… Notons en passant que si la DRAC-  Ile de France et la RMN avaient moins dépensé d’argent pour l’art contemporain, elles auraient peut-être pu mieux financer les systèmes de sécurité incendie pour Notre-Dame de Paris….

Plus d’infos sur cette crétinerie « artistique »

https://www.arts-spectacles.com/Mazan-l-Abbaye-Ardeche-Mazan-l-abbaye-aux-cercles-d-or-oeuvre-de-Felice-Varini-dans-le-cadre-de-Partage-des-eaux-2017_a12964.html

LE STREEET-ART EST L’AVENIR DE L’ART

C’est Beaux-Arts qui le dit…

Le bidochon infra-culturel middle-class, lecteur de Beaux-arts Magazine, semi-intello, à la recherche à la fois de distinction sociale et d’encanaillement popu, aime le street-art et son côté bien dégueu, pourri,  hors la loi, insoumis, sociétalement questionnatoire  et forcément sublime (comme dirait Duras) …bon, d’accord, ne chipotons pas : il y a bien 2% des street – artistes qui sont des bons.

5 destinations street art inattendues