
L’Etat n’ a pas d’argent pour préserver et restaurer le patrimoine, mais il en a pour le saloper avec de l’art « contemporain ».
Et c’est ainsi que le plasticien contemporain anamorphosiste Fabrice Varini a renouvelé son gros canular optique sur les ruines de l’abbaye cistercienne de Mazan en Ardèche. (Après la Cité de Carcassonne, il y a trois ans)


1 / Varini abbaye de Mazan
2/ Varini chapelle
Plus de 6000 signatures déjà pour la pétition protestant contre cette spectaculaire, démagogique et odieuse vulgarité visuelle… Une pétition que vous pouvez signer ici :
L’art « contemporain », génétiquement fait de pure conceptualité vide de sens et de contenu, a en effet besoin de parasiter le patrimoine pour se donner quelque épaisseur historique, substance vivante et légitimité…et s’attribuer un public admirateur du patrimoine pris en otage lui aussi : la manœuvre est bien connue…et celle-ci d’autant plus facile et coutumière que la DRAC locale , responsable du patrimoine possède, de ce fait, tout pouvoir pour y coller de l’art « contemporain »… Notons en passant que si la DRAC- Ile de France et la RMN avaient moins dépensé d’argent pour l’art contemporain, elles auraient peut-être pu mieux financer les systèmes de sécurité incendie pour Notre-Dame de Paris….
Plus d’infos sur cette crétinerie « artistique »
LE STREEET-ART EST L’AVENIR DE L’ART
C’est Beaux-Arts qui le dit…
Le bidochon infra-culturel middle-class, lecteur de Beaux-arts Magazine, semi-intello, à la recherche à la fois de distinction sociale et d’encanaillement popu, aime le street-art et son côté bien dégueu, pourri, hors la loi, insoumis, sociétalement questionnatoire et forcément sublime (comme dirait Duras) …bon, d’accord, ne chipotons pas : il y a bien 2% des street – artistes qui sont des bons.