LA « COLONIE » DE KADER ATTIA HAUT- LIEU BRANCHÉ DE LA « REPENTANCE DÉCOLONIALE » AU SERVICE DES RÉSEAUX ARTISTICO-FINANCIERS, ET DE LA CUISTRERIE DE CLASSE… Par Nicole Esterolle (Billet d’humeur)

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Prothèses de jambes

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LA « COLONIE » DE KADER ATTIA

HAUT- LIEU BRANCHÉ DE LA « REPENTANCE DÉCOLONIALE » AU SERVICE DES RÉSEAUX ARTISTICO-FINANCIERS, ET DE LA CUISTRERIE DE CLASSE…

Par Nicole Esterolle

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Quartier général des blaireaux culturels en recherche de signes de distinction et d’appartenance à l’intelligentsia parisienne…Lieu de retrouvailles entre les exquis « PIR –parti des Indigènes de la République » et la branchouille bobo- hidalgo- islamo duchampo gauchiste parisienne.

Kader Attia, star du financial-art, lauréat du prix Marcel-Duchamp 2016, a conçu l’endroit comme outil pour « décoloniser les arts, les savoirs et les imaginaires » …« les blancs doivent apprendre à renoncer à leurs privilèges » ( ben voyons Ginette !)

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Les gueules cassées
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Manque pas d’air ce Kader …

On croit rêver en effet devant l’ impudence inouie de ce chevalier de la repentance décoloniale et de la chirurgie réparatrice bien glauque et morbide comme l’aiment les cerveaux bien abimés eux aussi des fonctionnaires et spéculateurs de l’art. Il est le produit tête de gondole emblématique d’un système artistico- bureaucratico-financier on ne peut plus colonisateur, ravageur d’art , corrompu, cynique, destructeur de sens et pollueur de la planète. Il fait partie de cette tribu internationale des grands charognards récupérateurs des misères du monde pour en faire un max de pognon…Le tout en liaison intime avec les puissances politico-financières mondiales qui sont à l’origine de ces mêmes misères… Bouclant ainsi le cercle vertueux de la contemporainitude de l’art, dont on aime doctement discourir entre soi, à « la Colonie »

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Points de suture

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Plus d’info sur les PIR :
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La Colonie, quartier général de l’intelligentsia « décoloniale »

LE RENDEZ-VOUS DES IDÉES. Inauguré il y a trois ans à Paris et conçu par l’artiste Kader Attia, ce lieu qui questionne l’héritage colonial a su fédérer différents publics. (ici)
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« l’ABC de l’Art dit Contemporain »
 aux éditions 
Jean-Cyrille Godefroy.