HUGO BERGERON – Au bord du précipice, l’eau me semble froide / Maison de la culture Frontenac
Un périmètre de ruines a été disposé pour rappeler l’élasticité de l’Histoire, le temps qui passe et qui s’accumule. Les ruines sont une métaphore des échecs et des prouesses de l’humain qui se répètent en accéléré. Ces carottes de plancher de béton deviennent à mes yeux des artéfacts intemporels, de beaux prétextes à peindre. Continuer de lire HUGO BERGERON – Au bord du précipice, l’eau me semble froide / Maison de la culture Frontenac