Notre fringant curator international a donc parcouru le monde aux frais de la Princesse, pour trouver des produits hautement buzzants et communicatogènes, dont l’efficacité médiagénique se mesure à l’aptitude à la spectacularité, à la provocation, au scandale, à l’interpellation, à l’agression visuelle, au dérangement du bourgeois, au « bouleversement des codes, à l’« l’exploration des limites », au non-sens, à la dérision, à l’autodérision, au cynisme, la morbidité, à l’obscénité, au dépressif, à la négativité, à l’interrogation psychogène de tout et de n’importe quoi… Continuer de lire la Biennale d’Art Contemporain de Lyon : un Fukushima culturel